Une première partie en pleine lumière avec Vivaldi qui vous propose un moment vivifiant au bord de la mer, une promenade nocturne et le délicieux chant du chardonneret.
Puis Chostakovitch nous emmène dans l’ombre avec une oeuvre écrite en trois jours en juillet 1960 lors d’un séjour à Dresden où le spectacle de la ville dévastée l’impressionne. Il nous livre une partition dense et intense pour laquelle il écrira : “Enfin, j’ai écrit une oeuvre que je voudrais qu’on joue à mon enterrement.” C’est l’orchestration de Roudolf Barchaï que nous vous proposons.
Et, pour vous accompagner entre ombre et lumière : le flûtiste Luc Mangholz, flûte solo de l’orchestre de l’opéra de Vienne qui retrouvera son ancien professeur, Philippe Bernold à la direction !